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Tour d'horizon des critiques : HOUSE OF MCQUEEN ouvre Off-Broadway

En utilisant une technologie immersive — y compris plus de 1000 pieds carrés d'écrans LED — le spectacle transforme le théâtre en une fusion de défilé de mode, de pièce de théâtre et de concert rock.

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Tour d'horizon des critiques : HOUSE OF MCQUEEN ouvre Off-Broadway
La vie du designer Alexander McQueen prend vie dans la nouvelle pièce "House of McQueen", un portrait théâtral sexy, flamboyant, irrévérencieux et poignant qui dévoile l'énigme de l'icône de la mode. Lisez les critiques de la production ! Utilisant une technologie immersive — y compris plus de 90 mètres carrés d'écrans LED — le spectacle transforme le théâtre en une fusion de défilé de mode, pièce de théâtre et concert rock. "House of McQueen" met en vedette Luke Newton, Emily Skinner, Catherine LeFrere, avec Cody Braverman, Tim Creavin, Fady Demian, Matthew Eby, Joe Joseph, Denis Lambert, Margaret Odette, Spencer Petro, Jonina Thorsteinsdottir, Sam Dash, James Evans, Krystal Riggs, Jackie Sanders et Chris Thorn. "House of McQueen" commence ses représentations le 19 août à The Mansion à Hudson Yards. Écrit par la dramaturge primée Darrah Cloud et dirigé par Sam Helfrich, "House of McQueen" explore les débuts de McQueen, l'ascension de sa légendaire maison de mode, et ses relations profondément humaines avec sa famille et ses muses. Préparée depuis dix ans, cette production est présentée en collaboration avec Gary James McQueen — neveu de Lee et directeur créatif — et le producteur exécutif Rick Lazes. L'expérience inclut aussi une exposition spécialement conçue de créations archivées d'Alexander McQueen. Sara Holdren, Vulture : Un corset en aluminium glorieux et grotesque en forme de colonne vertébrale d'alien ; une paire de bois nacrés drapés de dentelle brodée ; des talons aiguilles, bulbeux, écailleux et épineux, semblables à des tatous en équilibre sur leur tête et leur queue ; des mannequins spectrales aux lentilles de contact noires ou à la mâchoire prothétique argentée, ou couvertes de plumes, de cotte de mailles, de peinture en aérosol, ou de coquilles de couteaux... Voici peut-être quelques-unes des images qui vous viennent à l'esprit en pensant au créateur de mode Lee Alexander McQueen, connu mondialement sous ses deux derniers prénoms et ayant disparu lorsqu'il s'est ôté la vie en 2010 à l'âge de 40 ans. Elles font également partie de la multitude de gestes de son œuvre qui suscitent seul plus d'excitation, d'émotion pure en les contemplant que ne le fait "House of McQueen", le soufflé plat de la pièce cherchant à rendre hommage à son homonyme à The Mansion, un nouvel espace de performance proche d'un club au milieu des tours de verre de Hudson Yards. Tim Teeman, The Daily Beast : La pièce, dirigée par Sam Helfrich, oscille entre différentes époques et modes de narration, sans vraiment s'attacher à un fil conducteur captivant. On retrace les moments clés de la vie de McQueen et des traits de sa personnalité — enfance difficile, abus, milieu ouvrier, le snobisme auquel il a dû faire face, drogues, homophobie, expression sexuelle, sa prise de pouvoir chez des maisons comme Givenchy, le suicide — mais ils s'entrechoquent dans un chaos déroutant sur scène. Robert Hofler, The Wrap : La pièce de Cloud est une série de fragments, racontés dans le désordre, tirés de la biographie de McQueen par Rick Lazes et Seth Koch. Chaque scène est si courte et sous-développée que le personnage principal apparaît comme un ensemble de clichés produits par un père abusif, une mère adoratrice, des employeurs snobs et des amants infectés par le VIH. Michael Sommers, New York Stage Review : Sans doute les créateurs du spectacle entendent célébrer les idéaux et réalisations de McQueen face à des défis impressionnants. Plutôt que de monter une hagiographie surchargée, un artiste audacieux et provocant comme McQueen mérite certainement un traitement théâtral extravagant. Peut-être que la vie de McQueen pourrait être mieux racontée sous la forme d'une comédie noire ou d'une cavalcade surréaliste qui se moque des récits biographiques ennuyeux. Bon sang, où est Taylor Mac quand on a vraiment besoin de lui ? Frank Scheck, New York Stage Review : La grande distribution gère brillamment ses tâches polyvalentes, et a généralement l'air fabuleuse. Newton ancre les événements avec une performance manifestement ressentie, dans laquelle il rend clair les démons intérieurs de McQueen. "L'argent n'est pas important", insiste tôt le créateur dans la pièce. "Tout ce que je veux faire, c'est réparer la laideur." "House of McQueen" rend clair, cependant imparfaitement, comment il n'a pas pu se réparer lui-même. Kyle Turner, New York Theatre Guide : La vision directionnelle du tailleur de classe ouvrière devenu provocateur de haute couture est en grande partie absente du spectacle, laissant au public le soin d'imaginer une image plus claire non seulement de l'apparence des vêtements de McQueen, mais aussi de la manière dont ils faisaient partie d'un point de vue ambitieux qui résumait ce que le regretté designer faisait le mieux : coudre mode, cauchemar, fantaisie et théâtre ensemble. McQueen a été un jour appelé le "plus proche d'une rockstar" de la mode, mais "House of McQueen", écrit par Darrah Cloud et dirigé par Sam Helfrich, relègue l'un des créateurs les plus théâtraux de tous les temps à une banalité de surface. Elysa Gardner, The New York Sun : Mme LeFrere a l'occasion de porter quelques-uns des costumes accrocheurs conçus par Kaye Voyce pour accompagner les extraits des défilés de McQueen. Rien de trop criard ou dérangeant ici, et Lee admet à un moment donné, "Tout ce que je veux faire, c'est réparer la laideur." Que vous soyez esclave de la mode ou, comme moi, un non-expert confirmé, vous trouverez probablement "House of McQueen" une étude de personnage intrigante et divertissante.
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